Turinabol, qu’est-ce que c’est ?

Ceux-ci se rapportent principalement au composant du groupe «  méthyle  » dans l’un ou l’autre nom, bien qu’il soit clair que le nom de Turinabol est beaucoup plus complexe, et cela se reflète dans sa structure avancée (par rapport au dianabol).

Sans entrer dans les détails sur le dianabol, ce produit a en fait fourni le «  plan  » original sur lequel «  tbol  » a été développé plus tard.

Curieusement, ils ont tous deux été développés à des fins extrêmement similaires, comme nous le verrons bientôt en observant l’histoire de ce composé.

Dianabol était lui-même dérivé de la formule de testostérone «  de base  ».

En gardant cela à l’esprit, en observant le «  plan  » de la testostérone et en le comparant au plan du dianabol, nous pouvons voir des différences considérables en ce qui concerne la formulation structurelle.

De plus, lorsque nous observons le plan du turinabol par rapport à la structure du dianabol, nous pouvons voir que si les deux molécules sont certainement similaires, elles sont aussi sensiblement différentes.

Cette différence est en grande partie liée à la double liaison aux positions un et deux du carbone. Cela réduit les qualités androgènes de la molécule, tout en faisant pencher la balance en faveur de l’anabolisme.

En conséquence, nous avons l’un des stéroïdes les plus «  amicaux  » des effets secondaires sur le marché (en théorie) en ce qui concerne l’activité androgène – cela en fait un choix apparemment favorable pour les femmes, bien que, comme nous le verrons bientôt, ce ne soit peut-être pas un «  grand  » choix de stéroïdes féminins.

Un autre ajout très important est celui d’un groupe chloro en position carbone quatre. L’ajout de ce groupe à base de chlore (comme le prouve cette étude) sert en fait à réduire l’activité œstrogénique, en particulier en inhibant l’aromatisation.

En gardant cela à l’esprit, il est prudent de dire que ce produit peut facilement être considéré comme un composé «  apprivoisé  » – la plupart des «  mauvais  » éléments (problèmes œstrogéniques et androgènes puissants) dont on s’inquiéterait généralement avant d’utiliser un anabolisant ne sont tout simplement pas présents à un degré amplifié ici.

Regardez par exemple la version de Prime Pharma, c’est-à-dire Turinabol 10 : pour ceux qui cherchent à être plus forts, plus performants et à construire un corps dur et musclé, Turinabol 10 est idéal – et avec des effets secondaires minimes.

Si vous avez déjà des connaissances sur le fonctionnement des stéroïdes oraux, vous savez que leur structure moléculaire doit être modifiée d’une certaine manière pour leur permettre de «  survivre  » dans le système ; Ce produit n’est pas différent.

Ces types de stéroïdes sont connus sous le nom de stéroïdes 17-AA ; le «  AA  » faisant référence à la modification «  Alpha Alkylation  » du composé de base. Il s’agit simplement d’ajouter un groupe alkyle à la position « alpha » au 17ème carbone de la « colonne vertébrale » du stéroïde en question (vous pouvez observer cette modification plus en détail ici.)

Ce que cela fait, c’est permettre à la structure moléculaire de l’hormone de survivre à ce que l’on appelle le «  premier passage  » du foie, alors qu’un médicament entrera dans la veine porte (sur son chemin vers le foie), et normalement sa structure se décomposerait de manière complexe – annulant ainsi (dans certains cas) ses effets sur le corps. L’une des premières «  interventions  » en ce qui concerne la structure des stéroïdes, et sans elle, les stéroïdes oraux tels que nous les connaissons aujourd’hui, ne pourraient tout simplement pas exister de manière efficace.

C’est au sujet des «  premières années  » que nous nous tournons maintenant vers les origines de ce produit et explorons comment il s’est concrétisé sur le marché des anabolisants afin de vous donner une compréhension plus large de ses capacités au sens large.